Le mont surplombe une ville immense, dense..
Qu’est-ce que l’existence humaine juste à coté d’une tel beauté ?
On ne distingue plus l’humain·e.
Où est cette précieuse Solitude ?
Seul.e dans cette une masse fourmillante.
Ennuyé de cette vie fade, machinale / Où Pauvre doit rester Pauvre
Où Riches oppriment Pauvres pour moins de tristesse.
Je désir la sagesse, le calme, l’intensité, la sublime et la hauteur Montagne.
C’est un pauvre, un voleur de pomme,
C’est un troubadour, un anarchiste,
C’est un créateureuse, qui ne finit jamais…
Ceci est une ébauche
“Messieurs l’agent du Néant ! JE suis gentils bandits.
Je rêve simplement, Vivre mieux !
Que Les hommes cessent leurs dominations
Que les rires ricochent sur les falaises
Que chaque maux puissent être écouter et soigner.”
La cage du quotidien, zombie, est son âme se meurent,
Garde un œil sur le sommet, on ne sait jamais. . .
Puis Milles et une Agitation,
Bandits gentils s’est fait des ami.es.
Sur le reflet d’un étang, s’aperçoit géant tel ces espérances.
Apprécie enfin d’une vie solide, intense, douce.
Humain.e devient Sommet par mégarde..
D’autres poèmes feront leurs apparitions !